Arturia KeyLab 49 mk3 White

Pour une présentation claire, l'interface utilisateur est divisée en trois sections. À l'extrême gauche se trouvent les molettes de pitch et de modulation pour contrôler les changements de hauteur et les modulations. Au-dessus se trouvent les boutons de transposition et de changement d'octave du clavier. Les 12 pads permettent de déclencher des échantillons du logiciel, de jouer des accords et d'envoyer des données MIDI. Et ils comportent un aftertouch polyphonique ! Juste à leur droite, on peut sélectionner des options et effets MIDI tels que le mode d'accord, le maintien de note, les changements de gamme et les arpèges. En dessous se trouve la section de transport, qui contrôle la lecture et l'enregistrement de la STAN. Au centre se trouve l'écran avec des boutons contextuels et le bouton principal pour naviguer dans les menus. Les boutons et des faders permettent de contrôler le volume, des paramètres, le panoramique et bien d'autres réglages.

La success-story d'Arturia a commencé avec les émulations logicielles de synthés analogiques célèbres comme le Minimoog de Moog, le Prophet 5 de Sequential Circuits ou le SEM d'Oberheim. Les instruments virtuels de la "V Collection" tiennent d'ailleurs toujours une place importante dans le catalogue de la marque française. Mais petit-à-petit, Arturia a également développé dans le domaine du hardware avec des synthétiseurs, des claviers-maîtres et des séquenceurs matériels. C'est ainsi que l'entreprise qui n'était au départ "qu"'un studio de développement logiciel s'est assuré avec le temps une place dans le monde de la synthèse analogique matérielle.